Société Arabe des Mines de l’Inchiri, constituée en février 1981 avec le concours de capitaux koweitiens, pour envisager une éventuelle reprise d’exploitation de la mine d’Akjoujt. Il s’agit d’abord de tenter de valoriser les traces d’or subsistant dans les terrils – appelés aussi haldes – où sont stockés les 2,5 millions de tonnes de déchets résultant du traitement du minerai par le procédé Torco.
Ishac fut directeur général de la SAMIN en 1987-1988.